«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Quatre infos sur cinq dans le fichier Stic sont erronées ou périmées. La faute à des erreurs de saisie ou à un défaut de transmission des tribunaux. Or 100 000 policiers ont accès à ce fichier qui recense aussi bien les victimes que les personnes suspectes de délits mais rien, dans la pratique, ne les oblige à le mettre à jour. Pas même lorsqu'une décision de justice acquitte un prévenu. [Lire l'article complet sur rue89.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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