«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Le départ de l'Ania, la branche agroalimentaire, relance les spéculations sur la succession de la patronne des patrons. A six mois de l'élection du président du Medef, l'Association nationale des industries agro-alimentaires (Ania) quitte l'organisation patronale : trop chère, estime-t-elle, et pas assez efficace. Au cœur de la polémique : la contestation de Laurence Parisot, présidente jugée à la fois trop timorée, trop autoritaire, et peu sensible aux difficultés concrètes des entreprises. [Lire l'article complet sur eco.rue89.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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