«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Faut-il nationaliser les banques pour les sauver de la faillite et permettre au système de crédit de fonctionner à nouveau ? L'urgence de la crise a déjà tranché en partie le débat... D'abord avec la nationalisation-sauvetage, en février 2008, de la banque Northern Rock au Royaume-Uni, puis la participation de la puissance publique à la recapitalisation d'établissements bancaires : l'Etat britannique est en passe de détenir 75 % des droits de vote de la Royal Bank of Scotland (RBS) ; 36 % de Citigroup appartiennent désormais à l'Etat américain. En Allemagne, un quart de la Commerzbank est passé sous contrôle de l'Etat, qui envisage des nationalisations forcées de banques en difficulté. En France, il montera à 20 % du nouvel ensemble Caisses d'épargne-Banques populaires... [Lire l'article complet sur lemonde.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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