«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Le meurtre d’une interprète mongole, au coeur d’un thriller mêlant ventes d’armes, jet-set et pouvoir, pourrait compromettre le futur homme fort de Malaisie. C’est le récit d’un meurtre, tel qu’on le lit dans un rapport confidentiel de la police malaisienne. Celui d’Altantuya, une jeune interprète asiatique, prise dans une sombre affaire de ventes d’armes entre la France et la Malaisie. Un meurtre dans lequel pourrait être impliqué l’homme promis à devenir, fin mars, Premier ministre de la Malaisie. La révélation, par Libération, de ce rapport de police est le dernier rebondissement d’un rocambolesque thriller où se côtoient marchands de canons français, chamanes mongols et politiciens malaisiens. [Lire l'article complet sur liberation.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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