«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Une veuve juive doit-elle épouser son beau-frère ? Une survivance archaïque que l’Etat hébreu ne conteste pas. Dans l’indifférence générale, une émission de télévision israélienne vient de diffuser un reportage sur une cérémonie de halitza. En un mot comme en cent, cette cérémonie est une abomination. Et le fait qu’elle puisse se dérouler en toute légalité est la preuve éclatante de l’anomalie qui se trouve au cœur de la relation entre l’Etat d’Israël et la loi judaïque (halakha) – ou, du moins, ceux qui prétendent être ses défenseurs. [Lire l'article complet sur courrierinternational.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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