«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
La France visait-elle vraiment à extraire les civils de Benghazi des griffes du dictateur Mouammar Kadhafi au printemps 2011? C’est le message qu’ont fait passer à l’époque le président français, Nicolas Sarkozy, et son conseiller improvisé, le philosophe Bernard-Henri Lévy, pour justifier une intervention de l’OTAN. Des courriels reçus par Hillary Clinton quand elle était encore secrétaire d’Etat américaine semblent raconter une autre histoire, à en croire le média en ligne de Washington Al-Monitor. [Lire l'article complet sur letemps.ch] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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