«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Des sans-papiers, souvent intérimaires, qui font "le sale boulot", dans des conditions de sécurité très précaires. Comme en témoignent des images (que nous nous sommes procurées) filmées par quelques-uns d’entre eux sur leur lieu de travail, dans les profondeurs du métro... Dix-huit mois après le lancement d’une vaste grève, les travailleurs sans papiers repartent au combat, soutenus cette fois par 11 syndicats et associations. Ils demandent à nouveau leur régularisation, "régularisation égale pour tous", après avoir constaté "l’arbitraire préfectoral" dans le traitement de leurs dossiers. [Lire l'article complet sur france-info.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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ce n est ni la faute des administrations qui les emploient,
puisqu'elles font appel à des boites d interim, ni la faute des boites d interim puisqu elles font appel à des sous traitants etc etc. Bref, c est la faute à pas de chance que ça finisse par se savoir ...
au fait, ce restaurateur de Neuilly dont l etablissement etait prisé par les hommes politiques en vue, employeur à l insu de son plein gré de personnes sans papiers, coule sans doute toujours des jours heureux et prosperes.