«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Présenté comme un instrument de lutte contre le chômage et un moyen pour les entreprises françaises de faire face à la compétition mondiale, le dispositif de chômage partiel concerne 90 000 salariés chaque mois et coûte au moins 600 millions d’euros par an. Si ce chômage temporaire subventionné permet de retarder des licenciements, le revers de la médaille est moins reluisant : promesses de maintien dans l’emploi non tenues, absence de formations pour les salariés concernés… Bilan d’une des principales mesures anti-crise. [Lire l'article complet sur bastamag.net] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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