«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Sous la pression des médias et des politiques, il avait renoncé à toucher des stock-options, mais Jean-François Cirelli, le vice président de GDF Suez n'est pas vraiment à plaindre. Selon le rapport annuel du groupe, publié aujourd'hui, sa rémunération a augmenté de 180% en 2008. Elle est passée de 460 000 à 1,3 millions d'euros. Et ce avec la bénédiction de l'Etat, qui compte plusieurs administrateurs au sein du groupe. De quoi convaincre les derniers indécis de la réelle motivation de Nicolas Sarkozy de "moraliser" le capitalisme. [Lire l'article complet sur cordonsbourse.blogs.liberation.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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