«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Après les navires militaires et les centres dans le Pacifique, la dernière innovation du pays contre les flux de réfugiés est d'en «sous-traiter» certains au Cambodge. Et le pays espère que l'Union européenne se convertira à ses vues... Ce sont quatre passagers peu ordinaires, soumis a une intense curiosité médiatique, qui ont atterri le 4 juin à l’aéroport de Phnom Penh. Trois Iraniens, ainsi qu’un Rohingaya, membre d’une des minorités musulmanes de Birmanie. [Lire l'article complet sur slate.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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