«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
La plupart des gouvernements sont unanimes : nous devons freiner le réchauffement climatique. Mais derrière les discours de façade, dans les couloirs du sommet de Copenhague, les mesquineries de chacun reprennent vite le dessus sur l’intérêt général. Des Etats-Unis à la Chine, en passant par l’Union européenne ou l’Arabie Saoudite, petit tour de ceux qui rechignent à conclure un accord contraignant. Sous l’oeil atterré des Etats, notamment africains, qui ont le plus à perdre. [Lire l'article complet sur bastamag.net] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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