«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
C’est raté. Nous n’avons pas eu peur des terroristes «anarcho-autonomes» tissant des réseaux internationaux. Cette irruption si brutale, si grossière, de la police politique nous a poussés à mettre des mots sur nos amertumes, à sortir de nos isolements. Dès le lendemain des arrestations, les comités de soutien ont fleuri comme des crocus après le dégel. Sans concertation ni mot d’ordre, la contagion a opéré : concerts, débats, rencontres, soirées… Partout, le soutien a réuni des dizaines, des centaines de personnes. [Lire l'article complet sur liberation.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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