«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
A l’approche d’échéances électorales, nombre de capitales africaines sont le théâtre de disparitions mystérieuses. Libreville n’échappe pas à la règle, notamment à la veille des élections présidentielles de dimanche prochain. Entretien avec le président de l’association gabonaise de lutte contre les crimes rituels. [Lire l'article complet sur afrik.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
A lire également : |
|||