«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Un employé d’un salon de coiffure Jean Louis David a dû changer de prénom. Unia dénonce une pratique discriminatoire. «Si tu veux travailler chez nous, il va falloir changer de prénom.» C’est ainsi qu’a été reçu Nassim à son premier jour de travail dans un salon de coiffure Jean Louis David. «A contrecœur et par nécessité», il opte pour Tiago. [Lire l'article complet sur lecourrier.ch] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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