«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Condamné à un an de prison ferme à la suite d’un coup de force dans le cadre d'un conflit salarial, Gérard Jodar, président de l'USTKE (Union syndicale des travailleurs kanaks et exploités), est privé de visites depuis hier mardi. Parce qu’il a donné un entretien à Libération depuis sa prison de Nouvelle-Calédonie, Gérard Jodar, condamné à un an de prison ferme à la suite d’un coup de force dans le cadre d'un conflit salarial, a été privé de parloir. [Lire l'article complet sur liberation.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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G. JODAR
Bonjour, le journalisme doit à mon sens informer les lecteurs de façon objective. Concernant la privation de parloir de G.JODAR il est consécutif à la découverte d'un telephone portable dans sa celleule et pas du tout lié à l'interview que Libé à réalisée par la voix de son épouse. Manipulation de l'information ou manque de professionalisme, je m'interroge ...
Cordialement,
Ariane