«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
L'instance de surveillance indépendante du FMI a mis en cause la gestion de la crise grecque par cette institution. Des critiques qui détruisent la narration officielle... mais faisons surtout comme si de rien n'était ! Un peu plus de six ans après le début de la crise grecque, la narration officielle, le « storytelling » qui a été élaboré par les gouvernements et les institutions qui ont géré cette crise, tombe chaque jour un peu plus en lambeaux. [Lire l'article complet sur latribune.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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