«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Après le « non » massif aux plans d’austérité, lors du référendum grec du 5 juillet, le pays est plus que jamais sous l’étau allemand. Reste un plan B déjà utilisé par l’Irlande, celui de créer de la monnaie. Comment sortir de l’ornière dans laquelle le gouvernement de la chancelière Allemande Angela Merkel est en train de pousser la Grèce ? La question se pose depuis que les dirigeants conservateurs et sociaux-démocrates allemands n’en finissent pas de rejeter les propositions du gouvernement grec, qui, le 22 juin, contenaient pourtant des concessions allant dans le sens de l’austérité souhaitée par les créanciers. [Lire l'article complet sur politis.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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