«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
La rupture temporaire des négociations entre Athènes et les banques, vendredi dernier, fait craindre un échec du plan de sauvetage. L'événement a été éclipsé par la disparition du triple A français. Pourtant, la rupture des négociations entre la Grèce et ses banques créancières doit inquiéter au moins, sinon plus, que la dernière décision de Standard & Poor's. Faute d'un accord rapide, le pays pourrait se retrouver en faillite dans les deux mois. [Lire l'article complet sur liberation.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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