«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Athènes temps gris et temps fort. Les camarades de Nikos Romanos, jeunes comme lui étaient encore là, devant les grilles de l’hôpital. La nouvelle venait tout juste de tomber. Le "gouvernement" du lugubre Samaras a reculé face à la mobilisation, la leur et la nôtre, et face à sa propre absurdité politique peut-être. Un amendement de la dernière minute faisant suite à la proposition des partis de l’opposition et donc il accorde le droit... bafoué à Níkos Romanós. Lui, tout comme les autres détenus pourront alors étudier. Depuis ce matin, il avait aussi refusé de boire. Il interrompt alors sa grève de la faim. Soulagement et alors dignité. Il était grand temps. [Lire l'article complet sur greekcrisis.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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