«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Après presque dix années de guerre et de terreur, de tortures, de disparitions, et avec l'implication grandissante des milices tchétchènes dans les exactions, les gens ont appris à se taire pour survivre. Les familles comptent leurs morts et leurs exilés. Les arrestations et les meurtres visent à présent ce qu'il reste des combattants qui n'ont pas fait allégeance, et des membres de leurs familles. Les troupes russes sont encore là, des familles ont rejoint leurs soldats, mais ils sont tous cantonnés dans des bases modernes et discrètes, entourées de barbelés. [Lire l'article complet sur rue89.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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