«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
La quasi totalité des commentateurs du débat public (personnel politique, journalistes, essayistes divers) continuent année après année à appeler « statistiques de la délinquance » les statistiques de police et de gendarmerie. Ces dernières sont pourtant le résultat de l'enregistrement (d'une partie) de l'activité des forces de l'ordre et non une enquête sur la délinquance et ses victimes. Pour mesurer la réalité, il est aujourd'hui évident qu'il faut se tourner vers les enquêtes de victimation qui interrogent directement les citoyens sur ce dont ils ont pu être victimes, qu'ils aient ou non porté plainte. [Lire l'article complet sur rue89.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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