«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Alors que Barack Obama fait part de sa volonté de diviser par deux le déficit budgétaire américain d'ici à 2012, Hillary Clinton n'a pas hésité à solliciter la Chine pour qu'elle continue à acheter massivement des bons du Trésor de son pays, et soutienne ainsi l'explosion de sa dette. "Nous allons faire face à un accroissement de notre endettement. (...) Ce ne serait pas dans l'intérêt de la Chine si nous n'étions pas capables de faire repartir notre économie", a fait valoir la secrétaire d'État américaine lors d'une visite en Chine achevée dimanche, en soulignant que les deux économies étaient "imbriquées". Les Chinois exportent vers les États-Unis et financent en retour l'économie des États-Unis. [Lire l'article complet sur lepoint.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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