«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Al Giordano - pour le webzine Narco News Bulletin - décrit, depuis Tegucigalpa, l’ambiance des nuits du lundi 28 au mardi 29 septembre, peu après la publication du Décret levant les garanties constitutionnelles du Honduras. Il y parle de la manière dont les putschistes font taire les médias, dont ils manipulent jusqu’à leur propre police, de la manière dont les soutiens à Micheletti se détachent peu à peu de lui, s’improvisent médiateurs et tentent par là même de réduire leur faute. [Lire l'article complet sur primitivi.org] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
A lire également :
|
|||