«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
En panthéonisant l'ancien ministre fusillé en 1944, la République honore un politique volontaire et un pédagogue original. Mais dont, à l'époque, les projets de réformes avaient rencontré beaucoup de difficultés, voire de haines. C’est Jean Zay lui-même qui l’écrit dans une lettre à l’écrivain Maurice Genevoix: «Souvent des universitaires, des instituteurs anonymes sortent des rangs pour me serrer la main. Quatre ans de gouvernement ne m’ont rien procuré dont je puisse être plus fier.» [Lire l'article complet sur slate.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
A lire également :
|
|||