«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
L’inquiétante idiotie du pouvoir dans l’affaire de Tarnac a pris, ces derniers temps, une dimension nouvelle. On a l’impression d’avoir affaire à l’un de ces enfants têtus qui s’obstinent dans le mensonge, pris la main dans le pot de confiture conspirative, les doigts collants d’arbitraire, niant l’évidence avec un aplomb affolé avant la gifle bien méritée. À Rouen, trois “proches de Julien Coupat” ont été placés en garde à vue et, dans le cadre des lois d’exception sur le terrorisme, ce “Patriot Act” à la française, ils peuvent y rester 96 heures. Il faut s’interroger sur ce qui fait de vous un “proche” de Julien Coupat. [Lire l'article complet sur causeur.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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