«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
La condamnation d’Aung San Suu Kyi, le 11 août, à une nouvelle période d’incarcération domiciliaire, met Total et le gouvernement français dans l’embarras. On ne peut désormais plus le dissimuler : Total est bien le principal soutien financier de la junte birmane occupée depuis une décennie. Ce rôle de bouclier joué par le pétrolier français devient caricatural, au point que les partenaires européens de la France, dont l’actuelle présidence suédoise, s’impatientent. [Lire l'article complet sur bakchich.info] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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