«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Bakchich a révélé qu’Omar Bongo a versé 817 000 euros à une société pour laquelle a bossé le ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, et l’ancien ambassadeur de France à Monaco. Sans que cela ne surprenne personne. À l’exception des sites de Marianne et du Monde, la presse ne paraît guère choquée par le règlement de factures de plus de 800 mille euros par un chef d’État étranger, Omar Bongo, au profit d’une société pour laquelle a travaillé le ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner. Et peu importe que son ancien associé, promu par Kouchner ambassadeur à Monaco puis à Genève, ait profité de son temps libre pour envoyer fax sur fax à la présidence gabonaise afin d’obtenir le versement des fonds. Sans même évoquer le fait que Bernard Kouchner reste aujourd’hui président d’une société qui a œuvré sur de tels contrats, ce qui est tout simplement anticonstitutionnel. [Lire l'article complet sur bakchich.info] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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fous, surement pas, pourris jusqu'à l'os, oui
comme le dit qq en commentaire de l'article :
"le couple kouchner-ockrent est un duo d’affairistes cupides (et pretentieux goujats) qui n’a cessé de se dissimuler derriere des postures de droit-de-l’hommistes sociaux-démocrates !! Qu’il faille attendre si longtemps pour le decouvrir démontre la cécité (ou la complicité) de la classe mediatique."