«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
L'éditorialiste du Monde rejette sur les Grecs la faute de leurs maux. Et refuse tout nouveau soutien au nom du choix du peuple hellénique. Réponse au nouveau mishellénisme français. Il fut un temps béni où les grands écrivains français faisaient de leur philhellénisme une vertu et un courage. [Lire l'article complet sur latribune.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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