«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Certaines professions sont plus contrôlées que d'autres, certains impôts ont des taux de recouvrement très faibles... Les magistrats de la rue Cambon se payent les agents du fisc. Dans son rapport annuel, la Cour des compte s'est intéressée, parmi de nombreux sujets, à un véritable fantasme français : le contrôle fiscal. Comme à leur habitude, les magistrats de la Rue Cambon s'attachent surtout à ce qui coince et dénoncent notamment l'inégalité des contribuables face aux vérificateurs de la puissante DGFIP de Bercy, la direction générale des finances publiques. [Lire l'article complet sur lexpansion.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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