«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
La part de marché des nouveaux prêts immobiliers aux États-Unis accordés à des ménages au profil financier risqué (subprimes) est revenue à son pic atteint en 2006, révèle une étude d'un économiste de la banque centrale américaine publiée hier. «La part des emprunteurs avec un score de crédit de moins de 660 [présentant des garanties limitées, NDLR] est revenue juste au-dessus de 20 %, la même que lors du pic de la titrisation subprime en 2006», indique dans cette étude John Krainer, économiste de la Banque de réserve fédérale de San Francisco. Selon lui, cette part était tombée à «pratiquement zéro» début 2008. [Lire l'article complet sur ledevoir.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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