«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Taxé de "porte de l'Enfer", ce cratère ressemble peu ou prou à une cheminée volcanique aplatie. De forme circulaire, il mesure 60 mètres de rayon pour une vingtaine de mètres de profondeur. En 1971, à proximité de Darvaz (Darvaza, Darwaz, ou Darwaza selon les traductions), dans le désert de Karakoum au Turkménistan, une installation de forage gazier s'effondre (source). A l'époque, dans l'urgence, les ingénieurs soviétiques décident de mettre le feu au gaz qui s'échappe. L'incendie aurait du s'éteindre de lui-même quelques mois plus tard, pensait-on alors. Mais le cratère se consume toujours et le très subtil président du pays, alias sa sainteté Gourbangouly Mialikgoulyïevitch Berdymoukhammedov, cherche désormais la solution pour étouffer ce brasero géant.
(Article publié sur le site "Les mots ont un sens")
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La porte de l'enfer
40 ans!!! Ce n'est qu'après 40 année que le président s'inquiète et cherche une solution pour mettre fin à cet incendie! Affaire à suivre de près.
je comprends pas pourquoi
je comprends pas pourquoi ils ne mettent pas 500 tonnes de tnt dans le trou,l'effet de souffle arrêterait certainement ce feu geant,c est ce que l'on fait pour les puits de petrole en feu.
Il doit y avoir quelque
Il doit y avoir quelque chose que l'on ignore à propos de ce trou. L'origine véritable...
car cela n est pas du petrole
car cela n est pas du petrole et sa me fairait que agrave les chose et le graterre deja present
la chance c'est surtout que
la chance c'est surtout que le puit ne crache pas a plein
encore 150 a 200 ans a attendre
juste du temps
la chance c'est surtout que le puit ne crache pas a plein
encore 150 a 200 ans a attendre
suffirait pas de boucher le
suffirait pas de boucher le trou?
on stop les emannations de gaz, et basta
s'en servir
en faire une central électrique, chauffer de l'eau qui active des turbines et tout le reste.
s'en servir
en faire une central électrique, chauffer de l'eau qui active des turbines et tout le reste.