«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Gestionnaire avisée, Florence Woerth a aussi créé une écurie hippique, où se côtoie le gratin des courses et des affaires. Un petit monde ravi de la politique de Bercy en matière de défiscalisation ou de paris en ligne... Nous sommes le 28 octobre 2008, à Neuilly-sur-Seine, dans les bureaux de Clymène, la société en charge de gérer la fortune de Liliane Bettencourt, héritière de L'Oréal. Florence Woerth, alors directrice des investissements de Clymène, tient une assemblée générale extraordinaire. Non pour le compte de sa richissime patronne, mais pour ses affaires personnelles, où flotte un parfum de courses hippiques et de défiscalisation. [Lire l'article complet sur lexpress.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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