«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Devant le Sénat américain, Brady Dougan a mis en cause certains de ses salariés qui aideraient des clients à frauder le fisc, sans qu'il en sache rien. Après l'UBS, en 2009, condamnée à verser une amende de 780 millions de dollars et à transmettre l'identité de 4 450 fraudeurs américains, c'était au tour du Credit suisse, la deuxième banque helvétique, de s'expliquer mercredi devant la sous-commission permanente d'enquête du Sénat américain, présidée par le démocrate Carl Levin. [Lire l'article complet sur lepoint.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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