«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Depuis le 1er septembre, le gouvernement nationaliste de Viktor Orbán oblige un millier de bénéficiaires d’allocations chômage, en majorité des Roms, à travailler sur des chantiers publics. A terme, ce dispositif est censé toucher 300 000 personnes. Szandor Szöke, à la tête du "Mouvement des droits civiques hongrois", s'est rendu sur le site de Gyönggyöspata: il décrit des conditions de travail indignes, l'absurdité de ces chantiers et l'absence de réaction de la population. [Lire l'article complet sur fr.myeurop.info] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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