«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
La pluie, la neige, la grêle… Les précipitations pourraient bien être gouvernées par les bactéries. L’analyse de grêlons révèle qu’un nuage d’orage, un cumulonimbus, abrite une vie bactérienne presque aussi riche qu’une rivière. Les micro-organismes favoriseraient la formation des hydrométéores et donc des précipitations. [Lire l'article complet sur futura-sciences.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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