«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Et si au lieu d’influencer les députés, on les formait directement à défendre nos intérêts ? A peu de choses près, voilà le credo des banques qui financent l’European Parliamentary Financial Services Forum. Fini le lobby à l’ancienne où les banquiers se bornent à payer des lobbyistes en costume pour porter la bonne parole à des députés ou à des décideurs administratifs. Avec l’EPFSF, les meilleurs lobbyistes des banques deviennent les eurodéputés eux-mêmes. Il suffisait d’y penser. [Lire l'article complet sur terrainsdeluttes.ouvaton.org] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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