«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
"Vous savez, je n'ai pas de loisirs. Si je travaille encore, c'est pour payer mon assurance maladie privée", explique Werner Neumann, gardien de parking à Berlin qui, comme un million de retraités Allemands, travaille pour arrondir ses fins de mois. Cet homme de 74 ans, à l'aspect encore solide, malgré sa barbe et ses cheveux courts tous blancs, a pris sa retraite il y a onze ans, après une carrière d'artisan indépendant. La moitié de sa retraite de "quelques centaines d'euros", il préfère ne pas préciser, passe dans une couverture maladie privée. [Lire l'article complet sur trends.levif.be] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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