«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Deux syndicats de police ont répondu à M. Fillon, dimanche 22 novembre, affirmant, par exemple, que "la politique du chiffre" défendue par le gouvernement était à l'origine de l'explosion des gardes à vue. Le premier ministre François Fillon avait demandé, samedi, que le concept de garde à vue, et notamment ses conditions, soient "repensés", estimant qu'il ne fallait pas que les policiers la considère comme "un élément de routine". (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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