«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Comment les Yes Men, guérilleros cravatés de la com', ridiculisent le néolibéralisme avec ses propres armes. Désopilant et dévastateur, un manuel de survie en temps de crise. Ce 3 décembre 2004, vingt ans après la catastrophe industrielle de Bhopal, en Inde, qui a causé plus de 18 000 morts, c'est la stupeur à Wall Street. En direct sur BBC World, un porte-parole de la société Dow Chemicals, répondant au nom étrange de Jude Finisterra, annonce que la firme, assumant enfin les responsabilités de sa filiale Union Carbide, va indemniser ses victimes indiennes à hauteur de 12 milliards de dollars... [Lire l'article complet sur plus7.arte.tv] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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les yes men sont extraordinaires
leurs actions sont de veritables prouesses, tout comme leurs films, à la fois drôles et terrifiants.