«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Washington, Paris et Londres se disent choqués par les manifestations de joie qui ont accompagné le retour à Tripoli de Abdelbaset Ali Mohamed Al-Megrahi, condamné pour l'attentat contre un avion en Ecosse en 1998, et libéré pour raisons médicales. La presse américaine parle de "second Lockerbie". De nombreuses voix se sont élevées après la libération d'Abdelbaset Ali Mohamed Al-Megrahi, atteint d'un cancer en phase terminale, et condamné en 2001 à la prison à vie avec une peine de sûreté de 27 ans pour l'attentat de 1998 contre un avion de la compagnie Pan Am au-dessus de Lockerbie en Ecosse. Le terroriste a été accueilli en héros en Libye, ce qui n'a pas manqué de choquer plusieurs pays. [Lire l'article complet sur tempsreel.nouvelobs.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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