«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
La synergie actuelle entre la crise alimentaire et la crise financière a déclenché un nouvel « accaparement des terres » au niveau mondial. D’un côté, des gouvernements préoccupés par l’insécurité alimentaire qui recourent à des importations pour nourrir leurs populations s’emparent de vastes territoires agricoles à l’étranger pour assurer leur propre production alimentaire offshore. De l’autre, des sociétés agro-alimentaires et des investisseurs privés, affamés de profits dans un contexte d’aggravation de la crise financière, voient dans les investissements dans des terres agricoles à l’étranger une source de revenus importante et nouvelle. De ce fait, des terres agricoles fertiles sont de plus en plus privatisées et concentrées. Si elle devait rester incontrôlée, cette main basse sur les terres à l’échelle planétaire pourrait sonner le glas des petites exploitations agricoles et des moyens de subsistance ruraux dans bien des régions du monde. [Lire l'article complet sur contreinfo.info] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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les Shadocks pédalent
Sans compter les pesticides, les nitrates, les OGM, les futures guerres de l'eau, les famines, les guerres (RDC...)...
Ceci après les fonds vautours, une cinquantaine : << des millions d'aide belge au développement ont été saisis au profit des fonds vautours. Ces opérations juteuses se sont multipliées avec les allégements de dettes des pays les plus pauvres...
http://www.lalibre.be/article_print.phtml?art_id=406549
vautours et charognards nés de 'l'incurie' des Shadoks pédalan
Pourquoi pré-existait-il un vide juridique?
Candide : <>