«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Les représentants du président constitutionnel Manuel Zelaya ont fait preuve d’une grande ingénuité en signant, le 30 octobre, l’accord dit de San José-Tegucigalpa, sous la pression du sous-secrétaire d’Etat américain pour l’hémisphère occidental Thomas Shannon. Ainsi donc, M. Zelaya, renversé le 28 juin, expulsé, et réfugié dans l’ambassade du Brésil (depuis le 21 septembre), après être rentré clandestinement dans son pays, serait restitué dans sa fonction, après consultation du Congrès. Un seul détail manquait : la date de cette consultation. [Lire l'article complet sur monde-diplomatique.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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