«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
A Athènes, télévisions et radios, qui revendiquent leur subjectivité, invectivent leur Premier ministre et font planer la menace d’une apocalypse si le pays votait «non» au référendum de dimanche. «Commandante Tsípras, il est temps que tu te casses ! Où as-tu mené le pays ?» hurlait une fois de plus vendredi matin l’animateur de la station de radio Real FM en s’adressant au Premier ministre grec, assimilé donc à un guérillero. [Lire l'article complet sur liberation.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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