«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Belle image que celle proposée par Frédéric Mitterrand, lors de son arrivée à l'Elysée : descendu de son scooter, un sac à dos à la main, il a déjà compris que sa nomination est le pur produit la politique-spectacle. Pendant ce temps-là, on ne parle pas d'autre chose. Ce n’est pas aux singes aînés (comme pourrait le dire Nora Berra,la nouvelle secrétaire d’Etat chargée des « Aînés ») qu’on apprend à faire des grimaces. Et pas à Frédéric Mitterrand qu’on apprend à se placer devant la caméra. Premier arrivé, premier servi, dans la cour de l’Elysée, ce matin, le virtuose des plateaux télé a assuré à mort, pour son premier conseil, son rôle de ministre médiatique. La recette est assez simple, elle se prépare en un tour de main et réclame deux ingrédients faciles à trouver : un scooter et un sac à dos. [Lire l'article complet sur telerama.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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