«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Un délire. De Rachida Dati, oublions le peu d’appétence pour l’Europe qu’elle était censée venir vendre, ce mercredi-là, devant des «jeunes populaires», lors d’une réunion de plaisante mémoire. Oublions ses rires étouffés de fumeuse de moquette et son arrogante légèreté à l’endroit du pâle Barnier, tête de liste désignée. Mettons cela de côté pour ne considérer que le produit pur, si l’on ose dire, d’une incompétence tardivement rhabillée en «troisième degré», mais pas seulement. «L’Europe s’occupe de ce qu’on lui donne à s’occuper avec les personnes qui peuvent porter ces affaires à s’occuper», c’est, de quelque façon qu’on prétende la justifier, une bouillie qui ferait vomir mon chat. [Lire l'article complet sur liberation.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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