«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Si le responsable d’un système d’information ne le sécurise pas contre les intrusions, le délit d’accès et de maintien frauduleux n’est pas constitué. Par un jugement du 23 avril 2013, le tribunal correctionnel de Créteil a donc relaxé celui qui s’était introduit dans l’extranet de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail et y avait récupéré des documents dont l’accès n’était pas protégé par un code d’accès et un mot de passe. Ce jugement va dans le sens de la jurisprudence Kitetoa de 2002 et met ainsi à la charge du responsable d’un traitement une obligation de sécurité. [Lire l'article complet sur legalis.net] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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