«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Hier, mon téléphone sonne. Au bout du fil, ma mère pleure et bégaye quelques mots avant de m’expliquer, d’un ton assuré, que mon oncle s’est pendu en début d’après-midi. Dans sa lettre d’adieu, tout ressemble à une réflexion à haute voix, à une série d’arguments qu’il semble avoir couchés sur le papier pour se persuader lui-même que l’issue fatale restait la meilleure. [Lire l'article complet sur equilibreprecaire.wordpress.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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