«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Les médecins de toute nationalité dénoncent l’utilisation de cette arme, dont les dommages sont considérables. Reportage à l'hôpital Shifa (Gaza), le principal établissement hospitalier de la ville, qui a connu des heures pénibles durant l’agression israélienne. Pendant vingt deux jours, le va-et-vient des ambulances a été incessant. La morgue était pleine. Les chirurgiens palestiniens, épaulés par leurs confrères venus pratiquement de tous les continents, ne quittaient pas les salles d’opération. Les infirmières, le personnel technique et de service se dépensaient sans compter. On n’en est plus là, mais les dégâts humains causés par l’armée israélienne sont tels que cet hôpital est encore surchargé. Ici, c’est le courage qui prévaut car depuis deux ans tout le monde vit enfermé. Même les médecins ne peuvent sortir pour participer à des conférences à l’étranger. [Lire l'article complet sur humanite.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
A lire également :
|
|||