«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
La pollution à l'ozone semble augmenter le risque de décès respiratoire à long terme, indépendamment de l'exposition aux particules fines d'un diamètre inférieur à 2,5 µ. C'est ce que suggère une étude réalisée par une équipe de l'université de Californie à Berkeley et récemment publiée dans le New England Journal of Medicine . Elle vient compléter de nombreux travaux qui avaient déjà établi un lien entre un taux élevé d'ozone dans l'atmosphère et une aggravation de la santé cardio-pulmonaire, mais à brève échéance. [Lire l'article complet sur lepoint.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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