«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Lors de sa conférence de presse, lundi, Nicolas Sarkozy a fait plusieurs fois allusion à l'Allemagne, « notre plus grand ami et concurrent ». Pourquoi s'obstine-t-on à parler de l'Allemagne comme de notre « concurrent », plus de 50 ans après la naissance de la communauté européenne ? Parce que l'Europe n'existe pas encore dans les têtes des dirigeants français. La région Rhône Alpes parle-t-elle de l'Ile-de-France comme d'une concurrente ? [Lire l'article complet sur rue89.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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